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Simone Lucie-Ernestine-Marie-Bertrand de Beauvoir

Simone Lucie-Ernestine-Marie-Bertrand de Beauvoir



Temps préexistentialiste
Le 9 janvier 1908 Simone est née à Paris comme fille d\'un avocat et d\'une catholique dévote qui
élève ses enfants de manière stricte et traditionnelle. Entre 1913 et 1925 elle fréquente le très catholique Institut Désir qu'elle finit ayant le baccalauréat. Après, elle fait des études de philologie, de mathématique et de philosophie. En 1929, elle rédige son mémoire sur le philosophe Leibniz. Elle se prépare pour son agrégation à la Sorbonne et à l'École Normale Supérieure où elle fait la connaissance de Jean-Paul Sartre.
Simone reçoit son agrégation et devient la première professeur féminine.
Elle passe beaucoup de temps avec son amant et ne recourt à un emploi à plein temps qu'en 1931/32 à Marseille quand Sartre travaille à Le Havre. Elle refuse d'épouser Sartre seulement pour recevoir un emploi près de lui car elle nomme le mariage un « embourgeoisement restreindrant et immixtion institutionnalisée de l'État dans les affaires privées ». Ils décident de mener désormais une relation prônant l'égalité de sexes et la liberté individuelle. En 1936, elle retourne à Paris (Lycée Molière) après avoir enseigné à Marseille et Rouen où elle s'occupe de la phénoménologie husserlienne.




La première professeur existentialiste
Il suit la publication de L\'Invitée (1943) son premier ouvre existentialiste traitant du ménage à trois (Sartre, Elle et une femme de Rouen). Dès lors, elle travaille comme écrivaine libre.
En 1944, elle publie également des essaies philosophiques à l'exemple de Sartre « Pyrrhus et Cinéas ».
De telle manière elle continue de publier à l'exemple de Sartre des écrits de différents genres.
Une nouvelle étape s'annonce au cours de son premier voyage aux États-Unis où elle tombe amoureuse de l'écrivain Nelson Algren. Dans son ouvre fameux Le Deuxième Sexe (1949) (« On n'est pas né comme femme mais y est fait.») elle défend des thèses concernant l'épanouissement de la femme et crée ainsi une sorte de Bible pour le mouvement féministe sans se nommer jamais féministe.
Cinq ans plus tard, elle reçoit le Prix Goncourt pour son roman Les mandarines de Paris, un mémorial littéraire pour l'existentialisme athée. Par la suite, elle rédige des ouvres sociologues (Brigitte Bardot et le syn-drome Lolita 1959), critiques littérairement (Faut-il brûler Sade 1955) et autobiographiques (Mémoires d'une jeune fille rangée et autres 1958-72).

Engagement
Elle s\'engage ensemble avec Sartre contre la guerre de Vietnam et celle d\'Algérie, devient rédactrice de l\'hebdomadaire gauchiste Les Temps modernes et soutient le féminisme. Depuis les années 70, elle se met volontairement à la disposition du mouvement féministe international.
Depuis la fin des années 70, elle s\'occupe de son compagnon tombé gravement malade (Sartre) avec lequel elle avait une ouverte relation amoureuse depuis le début de leur connaissance même si elle entretenait aussi des autres relations sexuelles et amoureuses.
En 1981, elle fait publier La Cérémonie des adieux, une chronique des dernières années de Sartre
Avant de mourir cinq ans plus tard le 14 avril et d'être enterrée au Cimetière du Montparnasse.







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